Voici donc le poème que j'étais en train d'écrire :
Au bord du Neckar
L’idéal sacrifié plonge dans son élan
Naïf sanctifié par quelque monstre charmant.
Extase éphémère rêvant d’éternité,
Dans l’œil de la bête, il croit trouver la clarté,
De l’innocence irrésistible cruauté.
Du haut du Golgotha de Heidelberg, tours creuses,
Marchant, songe un souvenir des ruines brumeuses.
Joël Gissy
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